Il y a une chose que j’ai lue et qui ne m’a pas plus. C’est cela :
« C'est ce manège simple que faisaient les Tzigans dans la pratique pour dresser les chiens, mais ils n'avaient aucune notion capacitaire du relatif »
Les tziganes comme tous les descendants indemnes des peuples premiers n’ont certes pas « la notion capacitaire » de manier un outil relatif comme l’informatique… Mais de là à les prendre pour une bande de primitifs ignards, il ne faut quand même pas pousser Mamie dans les orties…
Les Tziganes ont toujours eu dans toutes leur approches un sens bien à eux des questions de la nature et Pierre DERLON qui est un digne témoin de leur culture, n’a pas commis lui l’erreur de s’y méprendre… Toute son œuvre doit être consultée pour comprendre ce qu’étaient les vrais tziganes : Un peuple de science et même de Haute Science, de celle qu’on nomme parfois Haute Magie.
Dés lors que leur importait de s’instruire, et d’apprendre à lire : Ils maniaient la dialectique des âmes, ils voyageaient « par delà le mental », grâce au 3éme œil ils avaient découvert le 3éme chemin. Ils étaient plus vivants que nous car « Morts initiés ».
Grâce à cette Dialectique qu’ils lui avaient enseignée, Paracelse faisait de la biologie quantique avant notre ère. Les chevaliers du Temple ayant récupéré cette dialectique, ils ont construit bien des monuments encore mystérieux qui survivront longtemps après nos cathédrales de verre.
La dialectique des âmes était ce qui permettait aux tziganes de tout comprendre sans qu’on leur explique …
Un jour un adepte des sciences occultes m’a dit une chose très pertinente : « Le scientifique en bave pour grimper la montagne, il se perd dans le brouillard, glisse sur la glace, et n’emprunte pas les bonnes barres, et quand enfin amaigri et fiévreux il parvient au bout de son périple c’est souvent déçu qu’il trouve au sommet une bande de théologiens réchauffés autour d’un feu et occupés à l’attendre en buvant le thé »
Nulle compréhension ultime de la nature et par extenso du chien ne sera possible, à celui qui se refuse de comprendre la dialectique des âmes.
Une âme, une énergie, qui porte en elle des informations de base et qui durant tout son périple n’aura de cesse que d’emmagasiner d’autres informations,
Une âme qui durant sa traversée nephesh rouah neshamah n’a que quatre désirs :
- 1/ Le désir de l’énergie pour traverser son temps. C’est le désir de respirer boire et manger l’instinct premier l’instinct de survie qui est dans le nephesh = Le désir de boire la coupe
- 2/ Le désir de grandir de faire de la pneumatique pour atteindre les hautes sphères : C’est le désir du groupe, de la meute, de la famille, de la reproduction. Dans l’âme de l’homme ce désir est devenu désir de puissance et de faire la guerre. = Le désir de manier l’ÉPÉE
LA COUPE + L’EPEE = SURVIVRE. Rien n’est plus puissant que ce premier instinct
Respirer manger boire se reproduire. Vous connaissez quelque chose qui vit qui ne témoigne pas de cela. Même l’âme d’une plante a ces désirs là… Les mêmes que ceux de l’âme de l’homme, les mêmes que ceux de l’âme du chien. Et cela les bohémiens l’avaient compris… Car avant d’être nommés Tziganes c’est comme cela qu’on les nommait.
Mais la COUPE et l’ÉPÉE c’est comme une pierre chauffée par le feu… Il faut pour en faire de l’or, ensuite la refroidir la passer à l’air et à l’eau pour lui donner sa vibration.
D’où que l’âme a encore deux désirs :
- 3/ Le désir d’emmagasiner de l’information. C’est le désir d’apprentissage, apprendre à vivre en groupe, apprendre à connaître son environnement, apprendre à subvenir à ses besoins, bref apprendre à manier l’épée sans danger, apprendre en utilisant un BATON… Un bâton qui aide à faire le chemin pour satisfaire l’ultime désir
- 4/ Le désir de retourner là d’où on vient, le désir d’embrasser son âme, de renouer avec son être premier. Car là est la récompense, là est la pierre qui se transforme en or… C’est le DENIER, mais ce désir là ne se joue pas dans le visible ni le perceptible : Il se joue par delà, derrière le voile de l’invisible, de l’occulte car caché de vos yeux et pourtant placé juste devant nous, à travers le chien par exemple, puisque tel est notre sujet d’expérience.
Le chien veut apprendre, apprendre des siens, apprendre des autres dont l’homme.
Le chien est comme nous : Il veut être un chien en paix avec son âme de chien, comme l’humain veut être un homme en paix avec lui-même.
Les Chevaliers du temple avaient résumé cela en une clef :
"Je suis un chevalier du Graal qui a bu la coupe, qui a eu le désir de s'en nourrir, mais qui n'a pas commis l'erreur de s'en saouler. Celà m'a permis d'obtenir, l'épée, la force, pour défendre cette coupe grâce à ma puissance.
Comme je savais que l'épée devait être remise à sa place, alors j'ai fini par la reposer ou je l'avais trouvé et là elle est devenue un bâton.
Un bâton de connaissance sur lequel je m'appuie pour achever mon chemin vers la récompense, vers le denier, vers le soleil"
Le chien lui n’a jamais eu besoin de semblables repères car la Neshamah : Il la voit…
Je vous laisse digérer cela : Je vais nourrir mes chiens à l’ancienne : Je gueule pour les appeler et distribue leur quartier de viande. Ils rongent en grognant et défendent leur part à quiconque ose convoiter… C’est comme cela que j’aime le chien : Un brin âme sauvage.
(Le plat de cote d’agneau c’est OK, et hormis la bête à laine, choisir seulement la bête à plume. Bœuf et porc sont à proscrire sinon dermite et problèmes intestinaux seront votre lot)
VillaChicoubis © A suivre…
"Je suis un chevalier du Graal qui a bu la coupe, qui a eu le désir de s'en nourrir, mais qui n'a pas commis l'erreur de s'en saouler. Celà m'a permis d'obtenir, l'épée, la force, pour défendre cette coupe grace à ma puissance.
Comme je savais que l'épée devait être remise à sa place, alors j'ai fini par la reposer ou je l'avais trouvé et là elle est devenue un baton.
Un baton de connaissance sur lequel je m'appuie pour achever mon chemin vers la récompense, vers le denier, vers le soleil"
la quadruple de l'humanité en somme?
RépondreSupprimerLe drame chez nous les humains c’est que malgré 6 milliard d’individu et une espérance de vie d’environs 75 ans, nous courons après le temps avec l’espoir de le dépasser avant la mort
Le drame est aussi que malgré la quantité d’etre humain existant sur terre nous ne pouvons pas, nous empêcher de nous sentir seul, et nous somme toujours a travers nos combats, a nous demander ce qu’est l’amour, question difficile quand celle-ci est parfois abstraite et parfois concrète et même comme la haine passionnelle ou idéologique
Et cela à vrai dire n’est pas seulement valable que dans cette question, de l’amour ou la Haine, mais dans tous ce qui fait la chaine de l’existence de l’humanité
Mais une chance pour nous, il existe sur notre bonne vielle terre quelque espèces prés à nous aider, a nous guider sans faillir, avec fidélité est un amour inconditionnelle, il suffit parfois juste de ce laisser faire un peut
Juste un peut