On continue à faire des expériences "scientifiques" sur le chien :
Une âme animée de juste 04 désirs et voilà qu’on explique un œuf de chiot fécondé.
Les œufs sont là logés au creux de la coupe du ventre de la chienne mère, ils s’abreuve à son Nephesh connecté à une Neshamah supérieure : L’esprit de la meute si meute il y a, au delà l’esprit du chien, et au delà encore le Grand Esprit du Canin qui fait que non il n’y a pas de caractère de la race juste des chiens de caractère. Des chiens qui en territoires de guerre ou de catastrophe naturelle, séparés de leurs maîtres par des circonstances exceptionnelles, retrouvent vite leurs repères : Ils forment des meutes férales ou petits et grands s’en vont faire ce qu’il y a à faire : Survivre et pour ce en groupe on est plus forts… Le choc des journalistes correspondants de guerre n’est pas que de voir des cadavres empilés après des bombardements, c’est aussi celui de voir les toutous domestiques rescapés s’unir pour venir s’y nourrir… Et parmi eux des bichons, des caniches, de ceux qu’on ne croirait pas.
Au stade de la gestation tous les œuf de chiots quelque soit la race vont ainsi recevoir le même code : Celui de leurs aînés, de leur lignée, celui du carnivore qu’est le canin. Et c’est ce qui explique qu’un chihuahua peut se prendre pour un loup et un loup être gentil et tout doux.
Et ainsi l’œuf de chiot s’anime de quatre préoccupations qui sont les 04 désirs de l’âme :
- La coupe : Se nourrir au creux du ventre de la chienne mère, avaler son énergie en faire la sienne.
- L’épée : Se développer former des groupes de cellules qui commenceront par un système nerveux dans une membrane, une chose qui deviendra la peau, la colonne vertébrale et le cerveau, dont ce fameux cerveau reptilien, développé également dans l’homme qui lui le retient. Un détail de construction qui explique bien pourquoi la qualité de la peau et du pelage du chien recèle une grande partie de sa symptomatique nerveuse et psychique.
Un détail de construction qui explique l’instinctivation.
Un pête sur la chienne mère au cours de ces premières étapes de développement, et c’est toute la portée qui s’en trouve transformée… Et pour pas qu’il y ait de pête faut que la chienne soit tranquille rassurée, loin de toute autre femelle gestante ou titulaire du droit à reproduire, et si possible : Avec son mâle qu’elle aura choisi car les chiens nous aiment mais ils s’aiment aussi entre eux (et parfois se détestent d’où que si une chienne ne veut pas d’une mâle cela ne signifie pas qu’elle refusera tous les mâles, faut la laisser choisir quitte à passer outre le standard, laisser toujours la nature faire, elle réserve des perles)
- Le bâton : La cellule œuf peu à peu se transforme en chiot qui commence à apprendre : Apprendre à ressentir, apprendre à écouter le battement du cœur de sa mère, ce qui fera plus tard qu’il aura toujours le sens d’écouter celui de votre battement à vous. Le chien ne sent pas la peur : Il l’entend. D’où qu’il peut aussi entendre un problème cardiaque et prévenir son maître quand il l’aime… Et pour l’aimer vraiment il faut qu’il soit rassuré
- Enfin le Denier, la récompense : la cellule ayant fini son parcours à travers les trois premiers désirs : Là elle va devenir un chiot qui va sortir. Enveloppé d’un sac qui l’empêche de respirer de prendre le premier air qui lui dit ce qu’il y a à faire. Pas de vie sans respir. Aussi le seul geste autorisé au cours de cette séance sacrée, est de le libérer délicatement de ce sac et de le pousser vers sa mère, SI et seulement SI la chienne mère est trop HS ou occupée et qu’elle traîne à le faire… L’ordre de sortie compte car il correspond si tout se passe bien et qu’on ne s’en mêle pas à l’ordre de la 1ére prise de tété… Et cela a un sens pour l’avenir.
A la première bouffée d’oxygène, au premier respir le chiot prend son âme à lui, et ainsi son premier caractère : Il est visible dés les premiers jours, à la course pour aller manger. Tout est parfaitement réglé. Tout le monde sait ce qu’il a à faire et au moment ou il doit le faire… Chacun a déjà ses atouts et ses faiblesses.
Le triste constat est qu’à force de reproduction assistée on voit également les chiennes commencer à se désintéresser de leur maternité, n’ayant pas elles mêmes étaient correctement encodées de leur mémoire, comment pourrait elle être à même de la transmettre…
Nos comportements vis-à-vis de la nature doivent nous interpeller quant à ceux du chien qui vit avec nous.
Coupés de la nature sommes nous heureux ? Le chien lui ne l’est pas…
D’ailleurs y’a un proverbe orientale qui dit :
Qui a un cochon est heureux 02 ans
Qui a une épouse/un époux est heureux 10 ans
Qui a un jardin de nature (et des chiens) est heureux éternellement…
Pour le reste les plus sagaces vont commencer à comprendre que :
04 désirs de l’âme = 04 échelles d’instincts
04 échelles qui lorsqu’on sait les tracer avec un compas et une équerre aident à classer tous les instincts (du chien comme de l’homme) et à comprendre l’origine des problèmes de comportement, à remonter leur source quand on n’a pas d’historique complet. On peut ainsi donc mieux y remédier. Le remède peut être la réinstinctivation, mais il peut être aussi magnétique, neuro linguistique, olfactif, auditif, cela peut être une histoire de lune, de VMC, de réfrigérateur etc…
C’est magique mais cela ne l’est pas, c’est juste une « ontogénèse » très rependue en sciences occultes et qui ne défie pas les lois de la nature, qui se contente juste de les définir en les observant par delà le voile de l’âme.
Et comme une pneumatique c’est cyclique, à la première tété le cycle repart toujours dans le sens de la coupe, l’épée, la bâton et le denier et indéfiniment, jusqu’à l’adoption, jusqu’à ce que l’homme entre en scène… Motif du pourquoi il faut bien connaître toutes ses échelles de l’âme, et savoir regarder un humain en se demandant : Quel est son désir avec son chien, quel est son désir avec les siens, quel est son désir dans la vie ? Et vous verrez que beaucoup de clients sont restés bloqués dans l’épée : La puissance, qui devient colère.
Car quand le chien est placé auprès de l’homme il dépend de l’homme et de ses propres désirs :
En chine ils sont au stade de la coupe : Ils mangent le chien
En occident on est au stade de l’épée de la puissance : On dresse le chien, on le soumet, on le domine, on ne lui laisse plus aucune liberté pas même celle d’aboyer… Ce qui est comme vous priver de causer… (Je sais les voisins… Les plaintes… les gendarmes… J’ai donné, mais j’ai aussi tout assumé sans griller mon chien à coup de collier électrique)
Chez les peuples premiers et quelques personnes d’intelligence, on manie le bâton : L’homme apprend de l’animal qui apprend de lui et ainsi ils marchent ensemble en paix avec eux-mêmes et leur environnement.
Seuls ces derniers reçoivent en retour le denier que le chien est capable d’offrir quand il accède au stade de son pléni potentiel…
Vous comprendrez ainsi pourquoi j’ai troqué tous mes livres sur le chien, contre un simple jeu de tarot…
A ce stade je vous en ai dit assez pour que les plus intéressés se sentent appelés vers un papier un crayon un compas et une équerre :
03 cercles : Nephesh Rouah Neshamah
04 degrés pour l’équerre : 04 désirs
Et quelques échelles pour relier tout cela à travers les phases de développement.
Une poignée d’instincts qu’on classe là dans le milieu…
On n’a jamais rien inventé de plus simple ni de plus exacte.
Celà vaut pour le chien, mais aussi pour l'homme...
Seulement pour cela il faut chercher à comprendre, il faut chercher à y croire qu’un truc pareil puisse exister…
Bien à vous tous…
VillaChicoubis ©
"Je suis un chevalier du Graal qui a bu la coupe, qui a eu le désir de s'en nourrir, mais qui n'a pas commis l'erreur de s'en saouler. Celà m'a permis d'obtenir, l'épée, la force, pour défendre cette coupe grace à ma puissance.
Comme je savais que l'épée devait être remise à sa place, alors j'ai fini par la reposer ou je l'avais trouvé et là elle est devenue un baton.
Un baton de connaissance sur lequel je m'appuie pour achever mon chemin vers la récompense, vers le denier, vers le soleil"
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